dimanche 17 juillet 2011

QUE FAIRE??

II. Que faire ??

Nous avons essayé dans la première partie de montrer comment le régime libéral a organisé de façon délibérée la destruction du tissu économique et administratif du Sénégal, afin de s’accaparer des richesses nationales.
Pendant cette décennie les sénégalais ont souffert l’enfer :

• Le pouvoir d’achat des sénégalais s’est détérioré de façon très sensible avec l‘augmentation des prix des denrées de première nécessité de plus de 50 % de 2000 à 2010, alors que la majorité des revenus des ménages diminuaient, installant plus de la moitié de la population dans une pauvreté pesante. Malgré les effets d’annonce du régime sur les succès de la Goana et l’autosuffisance alimentaire supposée, le monde paysan continue de souffrir du manque de semences et d’engrais , mais surtout de la modicité des coûts d’achat de l’arachide, fixés par le gouvernement entre 150 et 165f cfa le Kilo depuis dix ans.
• En parcourant les campagnes sénégalaises on se rend compte que le pays stagne dans la misère, les besoins les plus élémentaires demeurant toujours insatisfaits : l’eau potable est encore rare, l’électricité est encore absente des villages toujours insalubres et mal aménagés, les enfants font encore des kilomètres pour rallier leurs écoles, dont certaines sont encore en hutte, les structures de santé de proximité sont mal disséminées et les femmes sont encore menacées dans leur vie quand elles veulent accoucher. Même dans leur prise de conscience, leur ouverture au monde, leur formation civique et leur information, les sénégalaises et les sénégalais du pays profond sont maintenus dans un obscurantisme qui en font encore un bétail politique et électoral facile à manipuler.
• De façon générale le régime a construit beaucoup d’écoles, de postes de santé et de centres de santé, dans des zones qui n’étaient pas prioritaires, souvent pour des raisons qui étaient strictement financières.
En effet la construction des infrastructures est, pour le régime libéral, toujours motivée par des raisons de retombées financières pour les initiateurs, sous le couvert de chantage politique de quelques clients influents du PDS. Ni la carte scolaire, ni la carte sanitaire n’ont été déterminantes pour fixer les critères d’édifications des établissements scolaires ou sanitaires ; la preuve en est que beaucoup de ces formations bâties à la périphérie des agglomérations sont restées fermées par manque de personnels techniques pour y officier.
Mais le drame est vécu par tous les sénégalais, des campagnes comme des zones urbaines et périurbaines, lorsqu’il s’agit d’inscrire les enfants dans l’enseignement secondaire ou supérieur, ou de se faire soigner dans les hôpitaux et les centres de santé.
L’enseignement public est devenu déficient et le secteur privé scolaire et universitaire s’est considérablement développé, en utilisant les personnels publics, les locaux publics et tout le système de l’Education Nationale. Ce parasitisme qui ne profite qu’aux personnels enseignants, rend ces services de base inaccessibles aux enfants des sénégalais moyens qui peinent à nourrir correctement leur famille.
Se faire soigner quand on est malade devient une tache ardue, non seulement parce que l’accès aux hôpitaux est devenu très cher, mais surtout parce que les structures de santé ne sont plus fonctionnelles : plateau technique vétuste, manque criard de médicaments, personnel pléthorique et peu qualifié dans sa majorité, problèmes financiers, tant au niveau de la trésorerie que de l’endettement.
Le malheur pour nos pays est que les secteurs sociaux constituent en théorie des secteurs prioritaires qui absorbent beaucoup de crédits et de fonds du budget national et des bailleurs, alors qu’en pratique le régime s’en sert pour s’enrichir et entretenir une clientèle politique prête à s’assembler et à accourir dans les mobilisations sociales du parti. Les matériels achetés pour soutenir les femmes sont distribués aux responsables politiques du PDS au niveau des départements et ne parviennent presque jamais à celles qui en ont besoin. Le matériel agricole acheté en grande pompe avec la GOANA a été distribué aux différents leaders du PDS, ministres, députés, sénateurs et autres barons de la Nomenklatura bleue, à qui d’ailleurs des terres ont été distribuées, sans limite.
Le développement du Sénégal profond reste encore à faire car depuis toujours les ressources financières de l’Etat sont utilisées pour des projets inspirés par les bailleurs, circonscrits essentiellement dans la région de Dakar et qui concernaient rarement le développement local ; et ce ne sont pas les investissements de projets comme le PNDL qui pourront faire du Sénégal un pays émergeant Les projets de développement local du genre PNIR ou PNDL ont épuisé énormément de ressources dans des activités de formation, de renforcement de capacités ou de construction de petites structures de service de base de l’éduction ou de la santé, alors que le vrai besoin était pour de gros investissements d’aménagement du territoire portant sur les communications, le développement industriel ou agricole intégrés.
Il faut dire que l’Etat central a toujours privilégié les activités sectorielles du niveau national, au détriment des activités intégrées au niveau régional et local, et la décentralisation initiée en 1996 n’a pas été suivie d’une allocation locale de ressources suffisantes pour faire face aux responsabilités liées au transfert de compétences.


• Ce qui s’est passé durant ces dix dernières années au Sénégal ressemble à une tragicomédie où les Actes et les Scènes se sont succédés au rythme des évènements imposés par Abdoulaye Wade, voyageur impénitent, animateur de premier rang de la vie sénégalaise, créateur de spectacles et acteur principal de toute la dynamique nationale.
On a l’impression d’être dans deux mondes parallèles, l’un animé par Abdoulaye Wade et sa bande, avec ses travaux, l’organisation de la conférence islamique, l’érection et l’inauguration de la statue de la Renaissance Africaine, le festival mondial des Arts nègres, l’inauguration du Grand Théâtre National, la construction des infrastructures de la Corniche de Dakar, le tout émaillé de scandales financiers autour du Port de Dakar, de l’AIBD, de l’Aéroport Lss, de l’ANOCI, de Mbackiyou Faye, de l’Avion Présidentiel I et II, en passant par les innombrables tripatouillages de la Constitution, les prises de position fracassantes du Maître de tous les sénégalais , sur les Institutions internationales comme le Fmi, la FAO, la BCEAO , sur la Côte d’Ivoire, la Lybie et Khadafi, etc. Dans ce monde où les milliards foisonnent, Dakar vibre sous les virées de la Jet Set dans les boîtes de nuit, les Divas de la chanson récoltent à Sorano les millions et les parures en or et en diamant, Kiné Lam, Fatou guéveul, Djiby Dramé et l’inénarrable Elhadj Mansour Mbaye font courir encore les Ndananes et Awa Diop Gabon dépense sans compter pour se faire un nom et une réputation. Le nouveau standard de réussite pour les jeunes c’est la musique, le football mais surtout la lutte qui rassemble des milliers de licenciés dont les Ecuries squattent les plages de la Banlieue Dans cette région de Dakar, de Rufisque aux Almadies les immeubles poussent comme des champignons et dans les rues des voitures rutilantes chatouillent le regard et éblouissent les passants envieux.

L’autre monde parallèle est tout ce qui reste du pays et qui n’est pas invité au banquet de « l’Alternoce ». C’est la banlieue qui est sous les eaux depuis 2005 au moins, où les gens mangent une fois par jour, ce sont les mendiants et les talibés qui grouillent au niveau des carrefours et des marchés ; c’est le Sénégal des profondeurs, le Sénégal des marchants ambulants, des paysans, des éleveurs et des pêcheurs confrontés à la crise financière mondiale et aux pénuries nationales qui ont bouleversé les filières du coton, de l’arachide et de la pêche. Tous, à Dakar ou ailleurs, ménagères, artisans tailleurs, ont vécu l’enfer des ténèbres et le manque d’électricité.

Au milieu de tout ce mélimélo s’est développé un laisser aller de l’autorité par rapport aux marchants ambulants, à l’occupation anarchique de la rue et de la chaussée, à l’indiscipline générale, à l’entretien de milices par des gourous religieux dont un se distingue en se chamarrant de galons dorés et d’uniforme de Général.
Bref, avec Abdoulaye Wade, tout ce qui vient de ses militants et de ses partisans est juste et négociable, tout est permis sauf lorsqu’il s’agit de remettre en cause son pouvoir et son hégémonie.

* On ne peut pas parler du Sénégal sans parler du problème de notre belle Casamance.
Depuis vingt huit ans des frères de la Casamance ont pris les armes pour manifester leurs frustrations et réclamer leur indépendance « par rapport à un pays qui ne les considère pas ». Des pas importants ont été réalisés par le gouvernement d’Abdou Diouf jusqu’à la signature d’une trêve et de façon générale une importante frange du Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance (MFDC) a renoncé à la revendication de l’indépendance de la Casamance et aspire à la Paix.
Ablaye s’était donné cent jours pour régler le problème de la Casamance et même s’est offert le luxe d’accorder un jour férié à la Nation pour fêter la fin des hostilités en Casamance. Hélas, ce n’était qu’une illusion, une fausse nouvelle que tout dans la réalité dément tous les jours
Ainsi le dossier Casamançais est devenu un fonds de commerce géré par des activistes qui s’enrichissent sur le dos du peuple sénégalais, sacrifiant à l’occasion, ces rebelles et ces soldats, et tous ces civils innocents qui meurent tous les jours sur les routes du Sud.
Récemment, à force d’attendre des négociations qui ne viennent pas et profitant de l’accalmie consécutive à la trêve pour se réarmer, le MFDC a attaqué les populations et l’armée sénégalaise, avec des armes sophistiquées extrêmement meurtrières. La riposte de l’armée a été implacable et ces combats ont fait subir à notre Nation, qui est une, la perte irremplaçable de fils courageux que nous pleurons tous .Les combattants du MFDC sont nos frères et l’Armée ne les affronte que pour protéger les populations civiles innocentes.
Tout cela relève de la légèreté de Maitre Wade qui a confié cet épineux problème à des énergumènes du genre Farbus qui n’ont aucune formation, aucune éducation et qui ne sont que des larbins exécuteurs de basses besognes. Cette guerre qui ne dit pas son nom a permis à des délinquants à col blanc de mettre la main sur les vergers de Ziguinchor, les récoltes de cajou, mais surtout d’affecter des centaines d’hectares à la culture du cannabis. La jonction entre cette pègre et les narco- trafiquants de la Guinée Bissau a fait de la Casamance un grand espace de production de drogue et rend la recherche de la paix encore plus difficile.
Il n’y a pas longtemps, des cadres du MFDC, les Biagui et autres responsables, et même Salif Sadio, ont regretté l’absence de négociation entre les parties et cette position figée de ni guerre, ni paix, ne peut qu’encourager la prolifération de bandes armées incontrôlables, et les escarmouches contre les populations..
J’ai fait le tour du pays, et j’ai parcouru les Régions de Kolda et de Sédhiou, j’ai visité Ziguinchor et mes amis ont parcouru toute la Région Sud et il faut reconnaître que la Région Sud est presqu’abandonnée par le gouvernement depuis vingt huit ans, aucun investissement majeur, en dehors de quelques initiatives des ONGs et de certains bailleurs de fonds intéressés par la Casamance comme l’USAID. Des villages entiers sont abandonnés, des écoles et des formations sanitaires fermées, des rizières disparues.
La première question à résoudre après les élections de 2012 doit être celle de la paix en Casamance qui a le droit d’être reconstruite et de vivre en symbiose avec les autres contrées, dans un Sénégal libre, démocratique et prospère.
Si le MFDC, dans toutes ses composantes accepte de renoncer à ses velléités d’indépendance, il doit être possible de négocier la Paix. Celle-ci doit passer nécessairement par le désarmement du MFDC et le déminage de sa zone de station et de toute la Casamance.
La reconversion des anciens combattants en pionniers dans des zones de production aménagées pourrait absorber une bonne partie de leurs effectifs et accélérer le développement de cette partie du Sénégal qui peut nous nourrir tous, sans problème.
La négociation de la paix doit se faire avec les parties pertinentes du MFDC, sans oublier qu’ une paix en Casamance en dehors de la Gambie et de la Guinée Bissau serait illusoire.
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* Que faire maintenant chers compatriotes devant l’ampleur de tant de problèmes et de tant de défis ?

Nous allons d’abord « parler politique ».

Il a été démontré tout au long des pages précédentes que le régime installé par Abdoulaye Wade a, dans la conduite des affaires publiques existé, et s’est développé contre les intérêts du Sénégal et des Sénégalais. Wade et sa Famille ne sont pas des Sénégalais mais des français, tant dans leurs origines, leurs aspirations et leurs convictions que dans les décisions qu’ils ont prises dans les affaires économiques nationales et leur comportement de tous les jours..

Les tentatives d’intrusion de Nicolas Sarkozy dans les dossiers politiques du Sénégal pour nous imposer Karim Wade sont une insulte à notre peuple qui n’a pas besoin d’ingérence pour régler ses problèmes ; toute la famille Wade a la nationalité française et nul ne peut le nier, donc dire que Karim est un Sénégalais qui a les mêmes droits que tout sénégalais est un mensonge et une hypocrisie, et le seul fait d’être le fils du Président en fait un privilégié. J’ai appris que Karim Wade aurait appelé Bourgi pour une intervention des troupes françaises du Cap-Vert pour disperser les manifestations du 27 juin et maintenir l’ordre au niveau de Dakar. A quel titre Wade Junior pourrait-il requérir l’intervention de la France au Sénégal ? Peut-être c’est le Ressortissant français qui s’est affolé, parce qu’il ne se sent jamais chez lui au Sénégal où il ne travaille qu’en qualité d’expatrié.
Jusqu’à présent j’ai évité de parler de ce gamin, surtout pour m’offusquer des responsabilités à lui conférées par son père, mais cette ingérence dans un domaine de souveraineté qui ne relève que de la compétence exclusive du Chef de l’Etat prouve qu’il est temps de se débarrasser du vieil homme qui est incapable de surveiller les agissements irresponsables de son fils très peu doué pour la gestion de la chose publique, puisqu’il sera toujours difficile de séparer le père du fils.
Il faut être conscient que si nous avions un dossier judiciaire contre la Famille Wade elle se précipiterait pour rejoindre l’hexagone et ne serait jamais extradée par la France pour nos beaux yeux.
Aussi, le mot d’ordre pour les Patriotes est de se préparer pour bouter les Wade hors de chez nous, parce que ce sont eux-mêmes qui se sont auto-exclus de notre peuple par leur attitude anti-sénégalaise, leur mépris à l’égard de notre Nation. Avec nos cartes, le 26 Février 2012, disons NON à Wade et à sa Famille, parce que nous les Patriotes, nous sommes majoritaires et ce Sénégal est le nôtre .Aussi, nous devons nous préparer et demeurer vigilants, afin de nous inscrire sur les listes électorales et de veiller à l’inscription de nos familles et de nos proches. Compte tenu de la capacité du régime libéral à acheter les consciences et à frauder, les Patriotes doivent sensibiliser leurs parents et leurs amis pour les dissuader de se faire corrompre par un régime finissant qui n’a aucun respect pour eux, mais aussi prendre des mesures pour sécuriser le fichier électoral avant les élections, et les résultats des urnes après les élections. Sur ce dernier point, les radios privées qui suivent les dépouillements heure par heure le jour des élections, pourront, comme par le passé, permettre un décompte manuel plus fiable que les résultats informatiques qu’un progiciel adapté peut biaiser, sans que cela puisse être décelé dans l’immédiat.
Aujourd’hui, le peuple vient de démontrer qu’il possède une forte capacité de résistance. Demain, il faudrait mener dans le cadre du fichier électoral le même combat pour l’annulation des mesures de restructuration de l’administration territoriale et des délégations spéciales qui bouleversent les adresses et les inscriptions dans les futurs bureaux de vote des électeurs et reviennent en fin de compte à confisquer le pouvoir que les populations ont librement attribué aux responsable de leur choix .
A partir de maintenant, il importe que les Patriotes s’organisent pour le choix de leur candidat qui doit être un homme de rupture et pas un professionnel de la Politique. Après Ablaye Wade, le Sénégal a besoin d’un homme fort, intègre et d’une grande probité morale et intellectuelle, qui n’aurait pas peur de prendre des mesures salvatrices ou d’ être impopulaire Nous Patriotes , devons veiller à assurer l’indépendance de notre candidat en lui assurant par nos cotisations l’autonomie financière apte à lui assurer une campagne électorale sérieuse et efficace.

Mais un grave problème de sécurité vient d’être évoqué par des partis d’opposition qui s’en alarme : il s’agit du recrutement par des caciques du PDS de mercenaires en provenance de la sous-région. Devant les violences perpétrées par les manifestants, surtout contre les biens de certains membres du PDS, des responsables de ce parti, prêts à tout pour rester au pouvoir, auraient imaginé ce recrutement pour infiltrer les manifestants et commettre à l’occasion ,des actes pouvant obliger l’Etat à prendre des mesures conservatoires pour anéantir la révolte, et installer le pays dans un Etat de belligérance permanente. L’objectif du régime libéral est de créer une situation qui puisse lui permettre d’organiser des fraudes massives et des troubles à l’occasion des élections présidentielles et d’installer un climat de tension qui facilitent la maitrise des conflits et recours post électoraux par la force publique.
C’est l’occasion de rappeler à nos jeunes des Forces Armées Sénégalaises qu’ils sont les héritiers de hautes traditions guerrières exercées dans l’honneur et la dignité mais aussi et surtout dans le respect d’une éthique que rien ne doit altérer.. En situation de Guerre comme en maintien d’ordre le Soldat sénégalais doit toujours garder sa Raison et son Humanité, Il appartient à l’Officier dont le rôle est de diriger les troupes d’avoir le sens des responsabilités et de la mesure. En matière de maintien d’ordre l’Armée est un recours de troisième rang, qui n’entre en opération que lorsque la Police et la Gendarmerie ont été engagées sans succès. Dans ce cas, c’est la Réquisition délivrée par l’Autorité Suprême qui en fixe les modalités d’exécution, selon la gravité. Dans les conditions normales d’usage de la force ou des armes, le chef de la troupe engage sa propre responsabilité sur les conséquences des ordres qu’il donne. Il est vrai que dans tous les cas force doit rester à la Loi et que les Institutions de la République doivent être défendues au péril de la vie de nos forces publiques.
Je disais toujours qu’il ya un seuil de rupture dont chaque démocrate et chaque républicain possède en lui la juste mesure. Nous devons veiller à ne pas l’atteindre pour ne pas exposer notre pays au désordre et à la guerre civile.

Mais il ya de grands risques d’affrontement entre le PDS et la Nation entière , depuis que Maitre Wade s’est posé en chef de bande , en rassemblant et en mobilisant son parti contre le Peuple Sénégalais.
Aujourd’hui, il n’y a qu’un seul mot d’ordre, se tenir prêt pour voter contre le candidat du PDS en Février, quel qu’il soit ; dans l’immédiat, se concerter entre patriotes, s’organiser et définir ensemble une stratégie pour vaincre le PDS et faire face à ses réactions de conservation du pouvoir.
Le blog reste un lien, patriotes, exprimez vous.

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